dimanche 2 mars 2008

Massage sans faille, mains et soupirs;
Corps nu sur corps nu;
et rigueur du désir, sur mouvements répétifs;
intensité. Rien d'autre.

7 commentaires:

amélie... a dit...

le mot «sur» est platement universitaire-bonbon:

«pincement exact; les mains, les soupirs. un corps dans un autre;
une sale dureté: l'intensité. Rien d'autre.»

c'est ma révision sévère. désolée. j'aime pas la poésie comme ça, alors mon truc est fuck plus moche que le tien.

Lumilla Farès a dit...

Je trouve que ce que tu rajoutes/corriges amène le ''quelque chose'' qui manquait à ce texte.. enfin, p-e bien.

pour le «sur» je suis d'accord.

en fait, je suis un peu jaloux de ta version, j'aurais aimé l'écrire finalement.. loll :P

il y a peut-être trop de ponctuation à mon goût par-contre... mais bon, mais bon

«une sale dureté», ouais j'adore, ça colle plus au propos anyways que «rigueur du désir» lol.

Lumilla Farès a dit...

ouais, je me relis la.. pis je crois que je me suis encore autocensuré.. j'ai comme voulu, de part une genre de rhétorique d'universitaire, caché je sais pas trop quoi..

Mais je pense que j'avais ''peur'' de pas être original en shootant des trucs plus trash, ou simplement sombrer (haha) dans la facilité si on veut.. car jaurais pu shooter plein de trucs.. mais bon

mon combat contre l'auto-censure se poursuit :P

amélie... a dit...

je pense qu'il ne faut pas confondre facilité et simplicité. quand c'est simple, c'est mieux... la facilité frôle le kitsch.

Lumilla Farès a dit...

ouais t'as raison..

Lumilla Farès a dit...

en contrepartie, ''jouer'' avec le kitsch comme le fait kundera.. ça frôle le génie. mais bon mais bon

Alexandre a dit...

Hey... j'avais posté un commentaire hier et il n'est même pas là... tant pis... je disais que la simplicité était souvent la plus puissante... j'adore ce texte.