lundi 29 décembre 2008

on était crevé par la journée de fou qu'on avait eu. trois ou quatre verres de vin.. alors la conclusion était simple, un massage. javais enlevé mon chandail, elle était assise sur moi ses mains glissaient de ma nuque jusqu'au bas de mon dos, parfois se faisant un chemin entre mon panthalon et le haut de mes flancs.

puis cétait mon tour, un peu gêné par l'excitation

je m'assis sur elle, en sachant qu'elle devait bien se douter, mais bon, on est humain! elle portait un t-shirt ample qui laissait mes mains monter très haut, mais vite je lui ais remonter en disant sans demander son avis que ça serait plus simple. Mes mains montaient du bas de son dos jusqu'à la nuque. je portais un panthalon léger et à chaque mouvement que je faisais vers sa nuque, je sentais mon sexe plus que coincé glisser le haut de ses cuisses. Même qu'à présent, je sentais un léger mouvement de bassin de sa part, lorsque mon poid se relâchait. mes mains glissaient de plus en plus vers le début de ses seins.

ses mouvements de bassins se faisaient de plus en plus clairs, je lui dis de se retourner, son bouton de jean était détaché (?), il faisait chaud apres tout. bien vite, ma tete se retrouva entre ses cuisses, puis elle sur moi le lit grinçait, zut ! sa coloc! bah peu importe qu'elle me dit à l'oreille avec un sourire.

couik couik couik couik couik couik couik couik couik couik couik couik couik couik couik couik
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bon je l'avoue, j'ai envie de faire du bon sexe! (dah!) non mais on s'inventera pas d'histoire lala

tk si vous aimez la littérature (bah les textes) érotiques : http://revebebe.free.fr/

dimanche 28 décembre 2008

heille jsuis vraiment trop séquelle.. pif paf, le gras de noel, le fort, les champignons: eurk, le cerveau a été prendre l'air. Incapable d'aligner quelques mots censés, c'est pas que je n'essais pas.

J'ai lu une bonne parti de la journée, le dernier bouquin de Naomi Klein, La stratégie du choc. Je vais laisser wiki résumer de manière plus cohérente le bouquin, mais bref ça fait du bien faire une lecture non-obligatoire pour une fois...

lundi 15 décembre 2008

citations pour le plaisir...

Citations sur le voyage tiré du site: http://www.evene.fr/citations/mot.php?mot=Voyage

En vérité, je ne voyage pas, moi, pour atteindre un endroit précis, mais pour marcher : simple plaisir de voyager.
[Robert Louis Stevenson]
On ne voyage pas pour voyager mais pour avoir voyagé.
[Alphonse Karr]
"Lire, c'est voyager ; voyager, c'est lire."
[Victor Hugo]
Ce qui importe, ce n'est pas le voyage, c'est celui avec lequel on voyage.
[Jean-Luc Gendry]

Les voyages prouvent moins de curiosité pour les choses que l'on va voir que l'ennui de celles que l'on quitte.
[Alphonse Karr]
Je réponds ordinairement à ceux qui me demandent raison de mes voyages : que je sais bien ce que je fuis, et non pas ce que je cherche.
[Montaigne]
Lorsqu'on emploie trop de temps à voyager, on devient enfin étranger en son pays.
[René Descartes]
On fait des films pour la même raison qu'on entreprend des voyages.
[Michael Cimino]
Quand on est bien dans sa peau, voyager, c'est être ailleurs, ce n'est plus être loin.
[Isabelle Adjani]


Ne croyez donc jamais d'emblée au malheur des hommes. Demandez-leur seulement s'ils peuvent dormir encore ? ... Si oui, tout va bien. Ca suffit.
[Louis-Ferdinand Céline]

L'homme qui veut s'instruire doit lire d'abord, et puis voyager pour rectifier ce qu'il a appris.
[Giovanni Casanova]
C'est connu, les écrivains aiment voyager. Bien sûr... pour eux, il est plus facile de lever l'encre.
[Georges Raby]

dimanche 14 décembre 2008

http://www.msnbc.msn.com/id/21134540/vp/28223089#28223089

le président bush qui se fait lancer une chaussure par un journaliste irakien...

jeudi 11 décembre 2008

bon bon bon watch out jai trouvé comment mettre des vidéos sur mon blog direct..
Nenon jtombe pu en amour JAMAIS, c'est promis. Virer fou 3 fois par jour, c'est épuisant au finale... Être incapable de penser à autre chose qu'une humaine, nenon fini! Repasser 4000 fois la même tournure de phrase en analysant quelque chose que cette autre humaine ne se rappel probablement pu! ayoye monomanie «dude» qu'on me dit, nenon kapoute fini! Ou juste une autre fois PAS PLUS, pour donner une vraie chance à la vie. J'ai vu un beau couple (60 ans facilement, danser amoureusement à mon bar, c'était vraiment beau, j'ai repris un peu espoir en la vie que j'ai dit lol nenon jpas ténébreux! ou deux à limite, SANS CONCESSIONS SUPPLÉMENTAIRES... anyways jpas quelqu'un d'émotif qui à des sentiments pis toute la.

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mercredi 10 décembre 2008

23h07: J'explose encore, j'essaie en ce moment de restarter mon cerveau jamer dans slush, et dans le restant de lecture de poésie du St-Sulpice...j'ai voyagé et j'ai eu bien du plaisir ce soir, merci :)

mais là je dois continuer, un examen demain matin, plein de travaux à remettre.

Envoyez moi de l'énergie en canne ou en liquide ou whatever, jvous rembourse dans pas long promis.

dimanche 7 décembre 2008

Un solide défi. Peut-être le plus gros à date.

Je crois que j'ai un problème au niveau de la concentration, je focus pas plus que 10 minutes sur un truc sans me mettre à divaguer partout dans ma tête, c'est pas normal ne pas être able to do mes maudits travaux à marde. C'est pas que je sois imbécile.. je sais pas, du contrôle, il me faut... C'est vraiment le bidule qu'il faut que je corrige, si je veux atteindre mes buts, et ça commence ce soir! De la discipline qui disent...

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Matérialiser le fuck torrent de ma tête, voilà la principale fonction du blog... faire devenir objet des trucs qui coulent entre mes doigts... ouais exactement ça.

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ambitieux crasse.. je sais.. mais je sais pas pourquoi cette fois, mais j'ai l'impression de progresser..vieillir, devenir meilleur.. je travaille fort du moins..

Mais je serai jamais content, et ça je vous le promets :)




allez! à+ jmen vais continuer le combat
jvous aime
sym

jeudi 4 décembre 2008

feeler pour tomber en amour...

lundi 1 décembre 2008

Il neige cette nuit.

C'est vraiment très beau. Si ce n'était pas de mes travaux, j'irais marcher toute la ville sous cette neige. Il y a des belles choses qui existent encore. Je reprends confiance. La vie est dans les détails, (ouais jsais je déforme un brin l'autre dicton).

Parlant de tous ça:

«Chaque plage possède une signature acoustique particulière, qui varie selon la force et la longueur des vagues, la nature du sol, la morphologie du paysage, les vents dominants et le taux d'humidité dans l'air. Impossible de confondre le murmure feutré de Mallorca, le roulement sonore des cailloux préhistoriques du Groenland, la musique des plages coralliennes du Belize ou le grondement sourd des côtes irlandaises.»

-Nikolski, Nicolas Dickner-

Amour

x

jeudi 27 novembre 2008

Parler beaucoup, parler peu. Boire une tasse ou deux. Chasser les fantômes, arreter le fuck torrent qui érafle.

J'ai trois tonnes et demi de trucs à faire, c'est exaltant, je n'aurai pas à trop réfléchir, je veux dire, à des trucs angoissants. Je n'ais qu'à regarder droit devant, c'est comme quand on traverse le continent: tout va bien tant que t'es pas rendu au bout...

Je scrappe complètement ma vie sociale.. non pas tant, mais souvent je dois choisir.. je ne sais pas trop quoi en penser..

J'adore les gens qui parlent beaucoup ou peu.

Encore du Dylan, Chimes of freedom cette fois. C'est d'autant plus beau qu'on est en novembre. J'ai peur. Mais je fonce sibole. Anyways toute va pêter l'an prochain... Je serai aux premieres loges et je prendrai des notes, c'est pas tout les jours qu'on a la chance d'observer le phénomène.

Avec qui? bah, on verra bien.. je ne sais pas trop quoi en penser.

bon je retourne à mes bouquins, mes nuits; je m'inquiète un peu pour elle.. mais bon ..

jvous aime

dimanche 23 novembre 2008

vendredi 21 novembre 2008

^`¨^>`%¤¬@² implosion
¦¤¢¬¤¦][£¢¬}¦´[¦¤¢]¢³

bordel que jmeurs des fois.

mardi 18 novembre 2008

âmes soeurs cosmique, connexion, complicité... tsé un dialogue qui se complète sans réplique... Entre deux vieilles âmes...
qui voient, parfois comme ça
la même chose.

sans en parler.
Ouais, ça arrive.
x
http://www.youtube.com/watch?v=aAWqRVug3Pk&NR=1 chouette film 99f. jai vu aussi L'événement malade ces deux films!

lundi 17 novembre 2008

Brainstorm

bon bon je l'ais pas encore finis le scénario, il me reste quelques heures pour le remettre.. jcapote jte dirais. j'entre un peu dans la phase délire la nuit jimagine. c,est parfait parce que je suis rendu au bout où ça dérape dans l'histoire... wake up en capsule. j'hais ça dormir jveux pu dormir jamais. jaurai plein de temps pour tout le monde, et mes projets. je serai joyeux qd meme, le caractère ne changerait pas.

bon ils entrent dans la chambre de l'adolescent... la chambre contraste beaucoup avec le reste de l'appartement côté déco. il y a une coupure de journal de kennedy lors de l'assassinat.. en fait il y un mur complet de coupure de journaux sur divers événements dans le monde, très majoritairement violents. Il y a également un poster de pink floyd, de velvet underground, Dylan...et des vinyles et une table tournante. ya un miroir avec une photo de la mère dessus. pendant, qu'il montre ses trucs, une mains de femme entre dans le champ, logiquement, c'est impossible qu'elle y soit. non, un visage qui se déforme comme si cétait une défaillance technique.

fuck que c'est toff le ciné.. c'est complètement une autre approche la, c'est comme chanter une histoire plutôt que de la lire; ou danser une pièce de théâtre... la narration est complètement différente..

je sais pas jusqu'où déraper. le rythme va aller en accélèrant. ouais c'est bon ça.. progressivement après la mort du grand père, tout va déraper.. de plus en plus. les plans de plus en plus courts... la mort de plus en plus près.. une chicane folle entre le père et le fils..... et avec l'équipe de tournage.. la musique va prendre la place des dialogues. de plus en plus de bizzarie technique.. des voix métallique, on le sait pu quesce qui est vrai ou non

fuck que je dis dla marde

dimanche 16 novembre 2008

ALLO?

bon le concept est accepté, il me faut écrire les dialogues, monter la patente, bref mettre de la chair sur la structure. Mon bureau est vraiment dans un bordel mongole, c'est génial à voir. Je pense à plein de trucs à la fois car je suis très fatigué; j'ai au moins 108 ans aujourd'hui. Je déteste les dimanches, je suis complètement mort chaque dimanche. C'est la défonce à Montréal. Je pense au gens qui sont dans les bars comme moi, trop souvent par semaine. Mais pour ma part, j'ai une bonne excuse, je gagne ma vie là dedans, à coups de rhum and coke, et de bières décapsulés.



C'est con me dira-t-on mais je pense à ce que je veux dans la vie ces temps ci. Je suis ambitieux que l'criss, pis en ce moment j'écoute du Dylan pis c,est vraiment parfait comme instant, avec cigarettes et tout. Ma chambre sens le yable. Je me dis que j'aime trop de choses dans la vie, mais après avoir classifié le tout, je me rends compte que c'est dans les domaine des arts et des sciences humaines que je trippe le plus.



Je remarque énormément les mains ces temps ci.. surtout celles tenant des cigarettes, ou encore celles qui parlent. Parle moi dont de la gestuelle! Il y en a des violentes, au mouvements brusques et avec la peur au ventre (paume en faite!); celles grasses et maladroites qui ne se posent pas de question (ou simplement, un peu moins); il y a aussi gestes timides et comptabilisé dans l'inconscients de leurs auteurs; et finalement la gestuelle délicates, fragile et tranchante, qui cassent et qui tue, ma préférée vous devinerez.



Je me demande aussi quelle genre de personne je veux être, quelqu'un de terrain ou son opposé? J'adore les deux, et chaque fois que je m'imagine faire quelque chose durant toute une vie, je me mets à détester cette chose. Je vais repartir sur la route. C'est inévitable, j'imagine. Seul? Peut-être pas. Je veux écrire pleins de trucs fous et déments. J'aimerais vous faire mordre le divan de frénésie, comme il m'arrive parfois. Tu sais la, se sentir tellement en vie que t'explose ? (!) c'est pas juste un état d'esprit que j'essais de décrire, se sont des moments ou tu le sais très pertinemant que c'est pas du n'importe quoi la vie (je sais, je sais gnagnagna).



putain que j'aimerais partager ça.

mercredi 12 novembre 2008

Insomnie gnagna

je dors pas, 3h am, c'est que jai froid. plein de chauffage et de couvertes. crissement froid quand meme. tsé c'est ben drole«gnagna jécris des trucs, dans ma tête c,est l'fun», mais damn, un peu de chaleur.. tsé jfeel pour être moelleux, dans le genre affection-pas-de-cassage-de-tête. être bien meton. feeler pour du un-peu-moins-de-tout-seul-isme. Avoir du bon sexe et de la complicité, tsé, le rêve d'une génération la... je sais jbeurre épais la. mais bon. Du partage.

mardi 11 novembre 2008

voilà:

Dylan, Bob

http://www.youtube.com/watch?v=lC44dxddVwE&NR=1 Bob Dylan - Blind Willie McTell
http://www.youtube.com/watch?v=JnVVKANqP3s Bob Dylan -Goin' to Acapulco
http://www.youtube.com/watch?v=xO0gSJGJ7Fs Bob Dylan - Like A Rolling Stone 1966

Cohen, Léonard

http://www.youtube.com/watch?v=g-oLmOm9vk0 Leonard Cohen - Avalanche
http://www.youtube.com/watch?v=x2I5UYkcPAY&feature=related Leonard Cohen The Partisan
http://www.youtube.com/watch?v=Swl2bETKqWg Leonard Cohen - Suzanne

Waits, Tom

http://www.youtube.com/watch?v=1wfamPW3Eaw tom waits- Chocolate Jesus http://www.youtube.com/watch?v=K6Mw6b1T50U Tom Waits & Iggy Pop - Coffee and Cigarettes
http://www.youtube.com/watch?v=74xpualjuhk&feature=related Tom Waits - Hold On



J'en suis mort 3 fois chaque.

lundi 10 novembre 2008

La nouvelle Sainte Trinité: Dylan, Cohen, Waits.

dimanche 9 novembre 2008

...parce qu'au fond, j'aimerais mieux traiter de mes petites affaires.. faire mes autofictions et me réinventer dans diverses positions. Il faudrait construire un film musical, avec cohen, velvet underground, je sais pas. tsé jai peur de tomber dans les discussions de cuisines québécoises de gnagnagna jvire fou .

P-e quelque chose de drôle?

p-e une histoire de second plan mais avec l'installation d'une atmosphère complètement fuck all.

p=e un suicide, une histoire d'amour?

p/e un carnage dans une université? Avec plein d'armes, pis de gens peu habillés.

ben je sais pas. jai comme aucun point de repère émotif..

la chasse continue
Je dois écrire un truc. Il doit y avoir des mots et des images, mais tout ça avec des lettres. Des descriptions, des dialogues, des interractions. Je dois écrire un scénario, j'ai jamais fais cela, je capote un peu. Je dois traiter de la famille, de dialogue intergénérationnel... c'est la thématique et c'est un contrat d'écriture pour une boite de production.

jcapote.

vendredi 7 novembre 2008

Finalité

Journal d’Un Individu[1]


30 novembre 20…

«…de nos jours, on ne parle plus, on cite.»
-ex-conseillé du ministre de l’Art-

«L’humain[2] est maintenant passé à une autre étape», avait déclaré le candidat favori aux élections de 20… C’est étrange, mais 10 ans plus tard les historiens de l’exactitude sont unanime : ces mots résonnent toujours avec tant d’écho dans le grand temple de la modestie. Suite à ça victoire, les réformes tant attendu ayant pour but de réaliser le Grand Saut dans le Future, se sont multipliées. Écrit il y a de cela que 2 ans, une revue fit paraître un article qui bouleversera les consciences et fera taire les indécis :

Extrait parut dans la dernière édition de la revue Sauvez les meubles![3] :

«À commencer par l'utilisation du «Je»: il est complètement proscrit par la nouvelle réforme, notre équipe d’analystes a prouvé qu’il suppose à la confidence , donc vers la manifestation émotive.
[...]
Mais parler de sentiments en termes objectifs et rationnelles est fortement encouragé par le conseil, il est prouvé que cela amène à une démystification et une banalisation de la chose.
[...]
Évidement, chaque colère est liée à une pathologie, chaque tristesse, à un manque, et chaque joie à une stimulation chimique, cela doit être répété, et martelé jusqu'au ridicule.
[...]
La mise en terre de toute manifestation émotive, est le début d'une grande révolution, la fin d'une époque; nous devons nous y attaquer dès maintenant, et dans le calme.
[...]
Inconditionnellement adopté au C.A. du comité progrès, la nouvelle a été accueillit par un stoïque silence des milieux intellectuels et avec indifférence par la population, on peut donc parler d'un succès sur toute la ligne.
[...]
Et concluons par la célèbre citation de François de La Rochefoucauld: «Il y a des gens qui n'auraient jamais été amoureux, s'ils n'avaient jamais entendu parler de l'amour».

***

1 décembre 20…

C’est étrange, JE n’a plus rien à dire.

***

4 février 20…

De vieilles notes ont été retrouvé par une amie… un poème d’amour à son adresse, il se trouve que l’auteur est la personne qui rédige ces mots. Un passage est resté suspendu et résonne à présent, comme sept années de belles de morts continuelles et permanentes en sa présence: «…Trop souvent le reflet du miroir était brisé par la lumière/ Nous sommes très semblable/Je ne le dirai jamais, mais tu m’as inspiré beaucoup de vie/Je t’aime.» [4]


[1] Fragments du journal personnel du célèbre sociologue Ivan B…, auteur de l’essai : Les cadavres sont debout.
[2] «...2. Qui est compréhensif et compatissant, manifeste de la sensibilité».
[3] Revue très active avant et pendant La Réforme.
[4] C’est ici que nous perdons la trace du journal d’Ivan B… À ce jour, son corps n’a pas été retrouvé.

dimanche 2 novembre 2008

Amie misenthrope éternelle (et) lointaine insomniaque essoufflée.

Humain: «...2. Qui est compréhensif et compatissant, manifeste de la sensibilité.».

***
Extrait parut dans la dernière édition:

«À commencer par l'utilisation du «Je»: il est complètement proscrit par la nouvelle réforme, car il amène à la confidence , donc vers une sentimentalité.

Mais parler de sentiments en termes objectifs et rationelles est fortement encouragé par le conseil, car cela amène à une démystification et une banalisation de la chose.

Évidement, chaque colère est lié à une pathologie, chaque tristesse, à un manque, et chaque joie à une stimulation chimique, cela doit être martellé jusqu'au ridicule.

La mise en terre de toute manifestation émotive, est le début d'une grande révolution, la fin d'une époque.

Inconditionnellement, adopté au C.A. du comité progrès, la nouvelle à été accueillit par un stoïque silence des milieux intellectuels et avec indifférence par la population, on peut donc parler d'un succès sur toute la ligne.

Et concluons par la célèbre citation de Francois de La Rochefoucauld: «Il y a des gens qui n'auraient jamais été amoureux, s'ils n'avaient jamais entendu parler de l'amour».
***
Il y a plus d'amour-propre dans la jalousie que d'amour dit-il également. Mais bon, il ne s'agit que d'une opinion. Le contenue d'un cerveau, la pudeur d'une pensée. Je suis assis dans une chambre et j'écris un billet. Il ne s'agit plus de créativité, mais de monomanie. Me voilà devant l'écran depuis plus de 3 heures, j'hallucine un peu je crois, je creuse aussi, et puis vlan! des mots, lorsque la censure quitte. Le cendrier est le témoin de mon angoisse, oui oui. heille c'est tannant conceptualiser pleins de trucs abstraits comme ça. Ça coule pas, ça s'aglutine à l'orifice, ça se cristalise au bout des doigts, ça coagule dans la bouche, ça caille entre les dents et le liquide lacrymal se fige dans la paupière. FUCK!
jpas capable d'écrire criss.
Post-humain en tabarnak.

lundi 27 octobre 2008

«Écrire.»
-verbe contenu dans le dictionnaire depuis des siècles!-
(Notons la phonétique «Et-rire» lorsque prononcé par un enfant en pleurs. ET/OU on peut noter la fusion avec le verbe crier.)

L'idée serait de trouver une bonne entente entre la franchise et la diplomatie. Arriver avec des points, et ne pas avoir d'hésitations à les exprimer. Ne pas penser mais être réfléchie. Le lit fait un de ses tapages! S'ajuster instantanément à la sensibilité de l'Autre. Il s'agirait d'exprimer la polyphonie de la réflexion également, complètement d'accord. Ma cuisse nue touchait la sienne. Comme de périlleux souvenirs n'apparaissent pas seuls, la mémoire est dotés de censeurs et donc, d'éléments créatifs très puissants. Mais bon je ne détestais pas.

Fuck off, le compromis.

«Chaque priorité, a son dictateur.» -Pr. Wütherberg-del-Gaspaccio.

Elle respirait à, intervalles, irrégulieres, dans mon coup. Nos détracteurs associent l'acceptation des éléments fictifs à une négation de la réalité, mais à notre avis, il s'agit plutôt d'une réinterprétation et d'une remise en question des stimuli qui bombardent nos unités sensorielles. L’aspect spatio-temporel est alors complètement chamboulé. Sa gorge laissait échapper de petits sons aigus. La définition de «réalité» est de nos jours, plus que jamais, remise en question, considérant les trois prismes découverts jusqu’à maintenant, dans lesquels nous voyons la «réalité» : Le point de vue du «je», le point de vue de l’Autre, et celui du «je» qui interprète celui de l’Autre. Il y avait ce bouton de jeans détaché par erreur. La temporalité est le fer de lance des adeptes réalistico-rationalistes. Cela doit être déconstruit. La main entre ses cuisses l’a réveillé, entre lèvres et coton. Donc, l’action reléguée au passé (au sens conventionnel du terme), est en constante redéfinition, réinterprétation. Le «moment» se répète infiniment jusqu’à l’oublie, ou jusqu’à ça complètement mutation. Elle respirait à, intervalles, irréguliers, dans mon coup.

vendredi 17 octobre 2008

http://maps.google.fr/maps?f=d&saddr=montr%C3%A9al,+6024+christophe+colomb&daddr=Route+inconnue+to:dawson,+yukon+to:fairbanks,+alaska+to:prudhoe+bay,+alaska&hl=fr&geocode=%3BFb-NGAMdkz6i-Q%3B%3B%3B&mra=ls&via=1&sll=57.844751,-112.236328&sspn=25.104737,78.75&ie=UTF8&ll=62.062733,-118.476562&spn=22.178207,78.75&z=4




bon jai vaincu mes trois examens. bon j'ai un cours métrage à écrire d'ici un mois. bon je redeviens workalcoolique (ça tombe bien! me dira-t-on). bon j'ai vraiment envie du mexique dans une bagnole orange. bon jai aussi très envie d'aller là: http://en.wikipedia.org/wiki/Dalton_Highway jusqu'à prudhoe bay, puis ensuite redescendre jusqu'à la tierra del fuego. C'est sincèrement un rêve qui m'anime beaucoup.. .
fuck oui que je vais y aller un jour!

heille heille jai faite jaser avec mon poème satyre-d'atelier-de-poésie À mon atelier de poésie, il y avait quelqu'un de très fâché :) ... tk je crois.

La revue l'artichaut est vraiment cool ce mois ci en passant! et moi aussi jean-philippe j'aime les «femmes artistes».. lol

j'ai l'impression d'exploser ou d'imploser 14 fois par jours ces derniers temps, ça bouille vraiment à 163 degres, j'en dors pu!

lundi 13 octobre 2008

Étudier la littérature, lire des bouquins, avoir un blog, construire des projets, jouer de la guitare, ne rien oublier, musiques, images.

Enregistrer le plus d'informations possible, coffees and cigarettes, faire des schémas, regarder dans les yeux.

«Toujours S/IONiste?» m'a-t-on demandé... Sure! I'am, ais-je répondu!

Semaine d'examens intense en perspective.

jvous aime.

lundi 6 octobre 2008

Jackos is back

bon je niasais un brin sur le blog à mistral lorsque je suis tombé sur ce commentaire qui cite l'entrevue que Jackos donné en 1967 à radio canne:

« La prose spontanée de Jack Kerouac, c'est ça. Quand tu commences une histoire, pis tu vas dans un bar pis qu'tu commences une histoire avec des hommes... T'arrêtes pas pour effacer, hein? Tu continues, tu continues, pis tu continues. » :

***

Très bien Jackos. Agir plus, penser moins. Cesser mon négativisme? Je suis trop négatif, m'a-t-on dit. Rêveur crasse de la lumière, ramancheur d'idéal, constructeur de réalité. J'avoue, c'est noble. J'ai de la sciure de bois sur les manches, je travaille très fort.

Je dors des 12 heures par nuit ces temps-ci, je suis un ours. Bordel que ça fait du bien. Non hey écoute là, il y a toujours le real man qui revient au bout d'un certain temps, ou plutôt l'autre homme. Il y a 14 syms, Simons, Simon (prononcé en anglais), Oeil de Riz, etc. Il change selon l'environnement, avec la vibe, le monde, et le niveau de caféine/alcool. J'ai vraiment assisté à l'incarnation de mon surmoi durant quelques semaines... Ce fut constructif, mais j'ai du mettre ma chemise carotté rouge aujourd'hui, je commençais à avoir froid. Constructif, angoissant, déstabilisant : tout ce qui faut pour évoluer, alors merci! J'espère avoir pu donner autant que j'ai reçu.

I'm reading Balzac, fuck j'ai 40 000 projets en tête, il me faudrait au moins 4 vies pour les réaliser, mais le concept c'est de les combiner ces projets. bref

samedi 4 octobre 2008

Sym 1.9

Je recommence le blogue. J'ai écrit pour la dernière fois, il y a un siècle environ. J'avais -79ans av. Sym, bref je n'étais qu'un gamin.

Je suis maintenant revenu, complètement. De là-bas. Je suis redevenu montréalais, étudiant, et rêveur crasse. Tu sais là, celui qui pense une bonne demi heure avant d'écrire une phrase en passant par les steppes de Gobi, et qui descendra jusqu'au mexique. Crasse comme ne-pas-se-laver-durant-une-semaine-à-4-dans-un-bazou.

Mais j'ai recommencé la musique. Je pratique tous les jours. watch out!

jeudi 28 août 2008

J'en oublie de dormir. Non mais pour vrai, je suis tanné de dormir. Je me lève chaque matin avec soulagement, lorsque je vois au cadran qu'il n'est que 11:00. OUF! j'ai réussis à sauver 3 ou 4 heures aujourd'hui. Au contraire, lorsque je me lève à 2:00-2:30, je vire fou! sibole yé où le soleil!? je le vois jamais, ben oui, ben oui c'est un choix de vivre de nuit, avec le boulot et tout. Mais c'est un choix surtout de faire un travail pas trop aliénant, avec tel race de monde, et qui me permet de payer, le loyer, pis mes folies de voyage-musiques-bouquins. bref je suis workolic. ben oui, mais je ne fais plus la fête, j'ai la gueule de bois les deux jours suivants. je suis coma-vedges-et la créativité m'oublie. donc oui je ne dors pas beaucoup. jaimerais que ma fatigue ne soit que physique, avoir mal partout j'men fiche, dans la mesure que c'est juste moi qui le sait. Mais sibole, c'est mental aussi, (ayoye j'invente la roue). C,est cool car j'écris mieux quand je suis crever jai limpression. en tk je suis plus saccadé, je réussis à mieux feeler ma thématique de l'urgence qui m'est tant chere.

Mais faire endurer, mes épisodes d'angoisses-badtripd'insomniaque-de-caféinomanetrash au gens: ça jtrippe moins,

je m'en excuse, sincèrement.
Mais j'y travaille. J'y travaille. (workolic). J'fumerais 30 clopes. Hier javais envie d'exploser de fatique. Faire ce bordel de devoir de pensée anarchiste.. fuck jai envie de le faire pourtant..
Il faut que je pense plus à moi. Sibole que je suis comme ma mère, toujours les autres en premiers. Mais en fait non, c'est si simple. ça serait trop simple ;)
Je suis maniaque du consensus. dans le sens que je suis bien quand je sens que les autres sont relativement bien autour. ça résume pas pire, je crois. en fait, aussi, c'est très égocentrique tout ça.. gros trip de modestie, pis jai remarqué que dans toute situation conflictuelle, c'est moi le problème.. dans le sens que je m'accuse moi. . en tk, je réfléchis à haute voix. ça va faire la psycho-pop about myself.
Mais t'inquiète, j'y travaille, j'y travaille.
:)

samedi 16 août 2008

Donc voilà! Voilà le tour du continent, bah pas tout non non, simplement des États-Unis au fond. Nord au sud, est en ouest, sud au nord, ouest en est; et les sourires de tout ces gens OUF! vertige ''man''. Je ferai un billet la dessus un moment donné.

bon bon , je suis rouillé

blog blog blog.. ouin

mardi 8 juillet 2008

en direct de portland, je vous dis: la vie est belle!! :)

vendredi 4 juillet 2008

Le sale flic!! Dormir dans un parking pres dune usine nucleaire est-il si criminel? fuck non, on dort ou on peut, quand on nest pas dans son pays ! heille on a tu dlaire de touristes? mezant que NON.  ou encore ces moments ou on doit partir car.. on doit partir simplement, car les gens nous ennuient a mourir ou quils ne font que se defoncer, ou ..ben quil faut continuer la route car cest comme ca. ..ou alors, ils sembrassent lorsquils ont deux minutes, et moi, je reviens de quelque part, je les vois.. mezant que je me sens seul pis parasite!! jaurais envie de me sentir chez moi, mais je sais quil y a personne a montreal, donc peu importe ou...  alors, je vais prendre une marche, chaque telephones publics minterpellent. je bois deux bieres. jecris des trucs, je lis Celine. 

On se dit quil faut  continuer la route, car cest comme ca.. il ny a aucun ancrage. comme dans les chansons qui parlent de liberte et de voyages. on se reproche de ne pas apprecier le moment present, ou encore detre connement amoureux dune fille. il faut continuer jte dis! juste quau bout de louest! juste quau sud du sud! puis il faut remonter travailler dans la vallee! yes i want to pick cherry baby! no i dont want to die in this fucking city! pis la je reve de lalaska car cest au boute du boute pour vrai! pis je le sais que je dois revenir. pis je me vois deja parler dun air nostalgique! jme fais chier davance. ben non jpas toujours emo dememe. jfais juste des testes. jessaie de trouver un style qui explose, tse comme les passages, de "pourquoi devoirs serrer les dents et se faire enculer par la peur de mourir", ou encore: "...de revoltes ecrases par larriere gout de sperme evangilique politicaille"... 

en tk je suis fatigue... miss you




mardi 10 juin 2008

vendredi 23 mai 2008

«Cigarettes and Coffees,
Du sable dans le nez,
Peur de rien, Miss lonely?
Grande inspirée.»

jeudi 22 mai 2008

«C'est peut-être cela qu'on cherche à travers la vie, rien que cela, le plus grand chagrin possible pour devenir soi-même avant de mourir.»[ Louis-Ferdinand Céline ] - Extrait du Voyage au bout de la nuit

«Si on se laissait aller à aimer les gens gentils, la vie serait atroce.»[ Louis-Ferdinand Céline ] - Extrait des Lettres de prison

«Que fait-on dans la rue, le plus souvent ? On rêve. C'est un des lieux les plus méditatifs de notre époque, c'est notre sanctuaire moderne, la Rue.»[ Louis-Ferdinand Céline ] - Semmelweis

«On prend tout pour des chagrins d'amour quand on est jeune et qu'on ne sait pas.»[ Louis-Ferdinand Céline ] - Voyage au bout de la nuit

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Ben c'est ça Céline, M. moi-j'ai-la-vérité-et-du-génie! Tu es dégoulinant d'une poisseuse vérité ouais! J'oublie l'instant d'un billet ton passé facho, car ça c'était vraiment con, je comprends pas trop encore pourquoi un homme de ton émotivité ait pu en venir à ces conclusions.. mais bon, mais bon je vais lire tes bouquins pis jte reviens la dessus, enfoiré!

Pis ouais, on mélange tout à 20 ans! On fout tout dans le même panier absolutiste. Le centre de l'univers, c'est nous! eurk, voilà pourquoi la déception, on finit par comprendre que nous ne sommes pas la solution, qu'une petite partie au mieux! Moi ça me console un peu. Je veux dire ça enlève une pression immence, mais cela amène par contre pour effet, un repli stratégique sur soi comme je mentionne plus haut.

On se donne des objectifs pour ne pas trop virer fou: Lorsque j'aurai mon diplome je serai heureux, lorsque je rencontrerai une femme super je serai heureux, ou encore on regarde par dessus notre épaule via une gigantesque album photos qui agit comme un prisme sur notre persception du passé. Idéalisons.

Moi aussi je prends tout pour des chagrins d'amour. criss. cela fait une belle façade à un truc que je ne verbalise pas encore.

Mais bon, sibole c'est emo tout cela, je suis à veille d'être universitaire si je ne fais attention! imagine. je vais vouloir donner un sens profonds à toute les niaseries qui vont me passer par la tête!! ayoye imagine. je vais parler en faisant de grands gestes et en buvant du café! oup!.. (gêne)

vendredi 16 mai 2008

Encore une fois, cette été, nous prendrons la route question de traverser et retraverser ce bordel de continent qui me parle tant. Nous descendrons jusqu'en Nouvelle-Orléans, puis ensuite San Diego, puis ensuite on remonte au Canada dans la vallée puis ensuite le québec. Un gigantesque carré (rouge?). Moi à l'ouest et toi qui va à l'est. Je suis de plus en plus convaincu en mes thématiques du mouvement et de l'urgence, puis j'ai trouvé celle qui accompagnera le narrateur. M'en voudras-tu si c'est toi? J'espère que non. J'ai tant cherché. Et cette année, je me demande sérieusement, pour la première fois, ce que je vais aller chercher à l'autre bout. Mais de toute façon, il n'y a qu'une seule personne qui aurait pu me faire rester... mais bon mais bon, je tombe facilement dans le mélo-drame-kitsch-et-du-hon!!-simon-t'es-trop-émotif-, ce ne sont que des mots, je suis en littérature, je le sais bien. Ben oui, je suis émotif, MAIS PAS ÉMO, comme vous autres bandes de émo!!

Avec qui je vais dire: «gnagnagna je suis ténébreux!» et «Fuck les cons!»? , je sais je sais, il n'y a rien de définitif, tout change si vite. Regarde il y a six mois! Mais bon, ce fut ma petite fin du monde à moi, mon 21 décembre 2012. égoistement. Mais bon mais bon... Je te souhaite de trouver ce que tu cherches, très sincèrement, Miss Lepidoptera Ière.

jeudi 15 mai 2008

débat

J'ai fait lire à mon coloc mon esquisse de chapitre, pis on a débattu durant une bonne heure et demi à savoir si l'identité se forgeait dans le passé, ou dans le futur... j'ai l'intimide conviction d'avoir raison sur ce point.. :

Notre identité (dans le présent) est forgé en grande partie, de par les influences de l'ensemble de nos diverses expériences, par ce que nous avons été (dans le passé). Et nous voulons être (futur) en fonction de ce que nous sommes actuellement (maintenant, donc avant)... à mon sens, nos ambitions ne tombent pas du ciel, elles viennent, en réaction à des événements ou autres trucs passés..

Lui m'accuse de défaitisme, de consentir que notre identité est forgé en grande partie par le passé, car c'est de mettre sur le dos du passé nos défaites et réussites actuelles. Lui, affirme pour sa part que nous sommes (notre identité) ce que nous voulons devenir, donc nos ambitions... notre être se crée en fonction de notre fantasmatique ... on se définit par nos désirs et fantasme?


qu'en pensez-vous? cher(e)s lecteur(e)s, et témoins de mon épopée

mercredi 7 mai 2008

Bon c'était décidé, j'en ferais la personnage principale de ce bouquin. Vous savez ce bouquin, sur l'urgence, où il y aurait des bordels de monologue qui feront prendre les pages en feu, ce bouquin pour lequel je voyage depuis 3 ans, question de faire le plein d'images, ce fucking premier bouquin. Elle sera là avec l'autre protagoniste, elle partira par hasard comme ça, car fuck les cons dira-t-elle. BEN OUI, pourquoi partir? pourquoi mes personnages doivent absolument ne pas être où ils sont? Je ne veux pas faire un road novel criss. gna gna ''on se défonce, on est des artistes trashs, gna gna on prends la route comme des paumés, car fuck les cons!'' NON! Ailleurs n'est pas meilleur, c'est simplement l'Autre. Là où on ne comprendra jamais vraiment tout, lui ou elle qui est différament, car il ou elle n'a pas la même histoire.

J'aimerais avoir un brouillard kafkaïen dans cette histoire.. je ne sais pas trop comme le faire par contre.. je veux garder des noms de lieux.. mais c'est quoi je pourrais enlever pour perdre le lecteur?


«Les pieds sur le tableau de bord, jean replié jusqu'aux molets, elle fume en écrivant. Miss lonely n'a peur de rien, d'ailleurs je suis certain qu'elle nous tuerait de sang froid si elle s'y voyait contrainte. C'était une louve, elle existait violemment, elle semblait s'accrocher à quelque chose ou à rien, ce qui lui donnait je crois, tant de force. Elle parlait peu, ou beaucoup. Je dois avouer que je ne croyais pas trop en ses idées, et elle non plus ne croyait pas trop en les miennes je crois. Parfois, lorsque j'arguementais sur un truc, elle me souriait tendrement (putain que je détestais ça! Traîte moi de minable plutôt!). Mais cependant, elle nous suivait quand même jusqu'à cette île fuck all du pacifique, dans laquelle nous avions tous misé. Moi non plus j'y croyais pas trop. je l'ais vu pleurer un soir, près du feu. Je me sentais comme dans un bouquin de jacques poulin...»
«elle n'a qu'une phrase à dire...»

jeudi 1 mai 2008

bouette

Un messie? Il m'est si facile, mais si difficile à la fois d'anticiper un mets si utopique. Mais si! je suis carnivore

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Je marchais sur St-Laurent depuis un bon bout déjà:

«Je dérape souvent ces temps ci, je me mets à penser trop rapidement. Ca commence par un café ou deux, puis je sens des trucs me venir, une sorte de créativité brûlante, suivit d'une fuck angoisse qui déchire les idées en images sans fin. Je les entends rire dans la cuisine, ils jouent. Je songe souvent à elle en boucle, je dois éliminer mes réflexes émotifs. Puis fuck, je dois partir, j'ai recommencé à écrire donc c'est bien. J'élabore des monologues un peu chaos, mais je m'en lasse déjà, c'est comme si lorsque je manie bien quelque chose que je m'évertue à créer, je le détruis car ça devient con. Je monte un sale monologue, il y a comme une digue de mots qui se crée, le plus difficile, c'est de faire pêter la digue, au bon moment. Tu retiens le méchant puis paf, un crescendo après voir brûlé une clope. Je me dis que l'amour est mal foutue, on aime ces gens qui nous disent ''tu es bien'' durant un temps, puis ensuite qui nous foutte notre mirroir en plein visage. Ces gens ne diront jamais ''t'es un minable'', ou ''putain que tu es ennuyant'', et c'est bien cela le pire, car on anticipe. J'ai toujours été aimé par tout le monde et cette dernière qui arrive dans ma vie via la côte nord. Elle m'aime puis, quitte car elle semble avoir vu le fond. TERREUR. ou c'est peut-être moi qui a vu le sien. Je vais retourner vivre à Whitehorse ce printemps à la fin de mon bail. Je vais vendre mes meubles puis m'acheter cette camionnette, ensuite je verrai. Je ne sais pas ce qu'il va se passer, ya une putain de guerre qui se prépare. Je ne pense pas l'amener avec moi, à moins qu'elle me le demande.»

Merde que j'aimerais faire de la magie avec les mots, me dis-je en attendant le feu vert. Une conne parle à son cellulaire, de la défonce du soir d'avant.

«Ce que j'aime dans mon boulot dans les bars, c'est ces moments de chaos où l'image et le son deviennent totalement indépendant du contexte (du fait que je suis dans tel endroit, dans tel vibe, etc). Cette image et ce son se colle plutôt à un symptôme, une analyse. Je sens vraiment au plus profond de moi des drames humains, mais aussi ces moments de magie. J'aimerais saisire l'essence de ces mometns.»


(comme bon tu vois? il y a aucune vie dans ces mots ci-haut!! tabarnak!)


Le boulevard St-laurent

lundi 14 avril 2008

''usine à diplômes..''

http://www.cyberpresse.ca/article/20080414/CPOPINIONS02/80414087/6780/CPOPINIONS02

''Serge Cantin, professeur de philosophie

Oserais-je le dire? Être professeur de philosophie à l’université, cela correspond pour moi à quelque chose comme une vocation, un terme qui évoque une époque révolue, un mot qui trahit mon âge. Mais j’assume mon âge, et l’anachronisme qui vient avec. Ai-je d’ailleurs le choix? En même temps que je demeurais ou que j’essayais de demeurer fidèle à certaines valeurs, à certains idéaux, à une certaine conception de la culture et de l’éducation, je n’ai pu qu’assister impuissant à ce que Michel Freitag a bien nommé « le naufrage de l’université ». J’ai vu celle-ci, année après année, s’éloigner d’elle-même sous prétexte de se rapprocher de la collectivité, de se mettre à son service, de répondre aux impératifs de la société dite du savoir; je l’ai vue, cette université, renoncer sans grand remords au sens millénaire de sa mission et vendre son âme au diable du marché; je l’ai vue devenir son propre simulacre. Ce qu’elle s’était voulue pendant des siècles, à savoir un lieu presque sacré, une enclave au sein du monde commun par où les hommes puissent interpréter librement leur condition, chercher les origines et les fins de leur existence, remettre en question leurs opinions et leurs préjugés, voilà bien ce que l’université d’aujourd’hui n’est plus et ne veut plus être, elle qui, comme l’école en général, n’a d’autre ambition que d’être utile et performante, en remodelant la constitution intime des personnes pour les rendre conformes aux exigences de la société de marché. ''


J'ai rien à rajouter...
vous, pourquoi êtes vous à l'université?

dimanche 13 avril 2008

Perdu quelques points de repères, assommante vérité qui me libère de mes dogmes?

Je l'ais traversé 30 000 fois ce continent, il faudrait que je passe à autre chose. Je vais donc travailler dans les bars jusqu'à ce que je devienne alcolo. J'écrirai un roman génial en fumant des tonnes de joints, question de pas trop réfléchir et devenir fou. Et puis je commencerai le chimique car j'aime voyager. En fait, je l'ais traversé que trois fois ce continent, deux en bus, une fois en voiture. Je ne l'ais pas traversé par le sud encore... et puis du nord au sud... j'en parle même pas!

Non mais sans blague, je crois que je partirais quand même, seul à la limite, moins longtemps.. non je sais pas, je ne sais pas pourquoi je me crée ce besoin. Je pourrais tripper sur pleins de trucs géniaux ici, il faudrait que je fasse du sexe toute l'été, ou alors, écrire pour vrai ce bouquin qui m'obscède. il pourrait y avoir beaucoup de sexe dans ce bouquin, et beaucoup de paysage. ayoye ça serait fucking freudien comme livre! Comme le concept, vous savez la, sur le rêve, de ''on rêve la nuit de trucs refoulés ou non-réalisés!'' bah fuck off, je ne suis pas une victime, car comme dit un de mes professeur qui cite Lacan je crois: ''Ton destin c'est toi qui le veut, il faut accepter cela'', ben oui. ben oui..

----------------------mur littéraire, clôture, bref, séparation!

jeudi 3 avril 2008

Je devrai quitter quelques jours, le 12 et 13 mai.. Montréal devient trop petit.

mercredi 2 avril 2008

ben oui je cite R. martineau (mais bon, il touche le bobo aujourdhui)

''Récemment, j'ai discuté avec une jeune femme qui a passé quatre ans dans la rue. Elle dormait dans les ruelles, passait ses nuits dans le métro ou les parcs... Un jour, après une surdose d'héroïne qui l'a menée directement à l'hôpital, elle a décidé de se sortir du trou et de trouver du travail. Savez-vous ce qui a été le plus difficile quand elle est revenue vivre «dans le vrai monde»? Ce n'était pas l'obligation de respecter un horaire ni celle de «s'habiller propre». C'était la qualité - ou plutôt la piètre qualité - des conversations. «Quand tu vis dans la rue, m'a-t-elle dit, tu ne parles pas de la température ni du dernier match des Canadiens, tu vas à l'essentiel. Les conversations sont profondes: tu parles de tes joies, de tes peines, de tes rêves, des expériences humaines que tu as vécues. Or, quand je me suis retrouvée dans un bureau, je me suis rendu compte que les gens normaux ne parlent que d'une seule et unique chose: ce qu'ils ont vu à la télé la veille. C'est tout ce qui les intéresse...» ''

ps: je suis tomber sur ça par hasard
Il y a des journées comme ça où je me lève. La vie dans les trips accrochés au crochet. Qui s'écoule à grosses gouttes sur un planché flottant.

Non mais fuck je suis tanné de mourir.

Ben oui, je sais, c'est cyclique mon affaire. Je me reprends. Tout va bien.

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J'ai crissement peur.

vraiment.

mardi 1 avril 2008

grève

grévistement parlant, on s'est faite planter 8-0, match complèt pour le lanceur adverse, 12 strickouts. Dans la défaite, le point positif à en tirer, est un esprit d'équipe solidifier par nos déboires... (nimporte quoi)...

Non sans blague, je vous salue, ceux qui y ont cru... en espérant vous revoir dans les prochains combats, (si la cour nous autorise, et que le nombrilisme s'embourbe dans sa propre mousse de nombril)...

explications

salut grand papa billy,

Non mais fuck, c'est pas juste de la fuite mon concept. Ben oui, il y a de ça, mais le truc au fond de tout la, que je peine encore à expliquer, c'est que je me sens moi-même, et beaucoup plus vrai ''là-bas''... je m'explique (enfin j'essaie) : un moment donné ici, je me perds un moment ou l'autre, je finis par ne plus me sizer moi même, je me laisse influencer et ''former'' par mon décors et fréquentations. je me laisse dériver genre. c'est pas du tout négatif, car cette ouverture d'esprit que je m'autorise (avec ses avantages: plusse de perspectives, et inconvénients: influençable facilement), m'amène à évoluer en prenant et apprenant de l'Autre. Mais je finis toujours par me sentir faux, l'envie de plaire me scrappe toujours à un moment ou lautre; jfinis toujours par tenter de me mettre sur la ''fréquence de lautre'' plutôt que de tenter de convaincre l'autre de la mienne. je me sens terriblement faux. Et viens le moment où, par force de connection, je me vois en reflet via l'Autre, et là je badtrip.

maudit miroir.

Et l'impression que l'Autre voit mes défauts de manière aussi tranchante que moi me charcute complètement. D,où mon manque de confiance je crois. pis fuck jaimerais être fonceur et irréfléchie, comme dans un film biographique d'une rock star merde.

Mais là-bas, c'est pas pareil.

Je me sens beaucoup plus proche de moi-même. Peut-être à cause du mode de vie minimaliste que j'adopte. Peut-être parce que fréquenter des inconnues m'amène à me crisser un peu de mon image, car jai rien à vendre ou prouver. Pis le fait de partir avec des gens qui ont les mêmes valeurs que moi, et qui acceptent mes défauts et qualités, ben je suis plus zen. Ils ne me demandent pas de leur prouver quelque chose. Je les aime tant.

Et puis, je pars parce que fuck, je suis complètement tanné du décors. des arbres aux quinzes pieds, des itinérants au visages de néant, d'anéantissement, café vanille sur st-denis, pichet de bière sur terrasse. défonces en ligne chronomètré, projets de carrières de on-s'en-calisse, d'amour qui boitent sur lesquelles on donne des significations divines à tout coup. Non mais sérieux, on s'en construit des beaux concepts. Des jobs steady, sécuritaires, sérieuses, radieuses, un ancrage dans la dérape, non je sais pas. c'est pas que je n'aime pas les gens avec qui je travaille ou avec qui j'ai travaillé, au contraire, jvous dit merci. Mais comprenez moi, je m'ennuie facilement. plus jeune, j'ai failli mourir vingt fois d'ennuie.

Cet appel de la route... depuis que je l'aie, j'ai moins peur car je sais qu'il y a elle plutôt que..

puis tu sais, anyways je le répète sans cesse. Tout ces moments où les paysages m'ont obligé de convenir que fuck, la vie est belle. Océans, montagnes, désert... ces visages, ces moments de plénitudes. ces moments de départ où on pack la voiture, ces moments de silence devant un crépuscules, ces siestes sous un arbre par un après midi de canicule.. ces journées de dur besognes, qui se termine en jymbé de guitare et transes d'affranchies.

c'est sur, il n'y a pas que ça.. qu'on doit participer à la vie plutôt que de simplement l'observer.. mais cette liberté... terme usé je sais... celle qu'avait les premiers américains avant et pendant la conquête de l'ouest... ils savaient que s'ils en avaient marre de l'usine.. il y avait à l'ouest, de l'espoir, tout recommencer.. un peu..

partir c'est pas juste de la fuite. je le comprends ce soir.

sincèrement,

sym

ps: pardonne mon style plutôt brouillon grand papa billy, je bloguais thérapeutiquement cette nuit. Donne moi des nouvelles du grand nord.

dimanche 30 mars 2008

ça y est! c'est fait! c'est maintenant officiel! ça va être malade!

;)

jeudi 20 mars 2008

désolé

bonjours à tous, désolé de ne pas avoir écrit plus tôt, je suis parti dans la nuit de vendredi à samedi pour l'ouest.. je vous expliquerai plus tard pourquoi..

je serai à SF demain soir

jvous aime

sym

vendredi 14 mars 2008

deux phrases marquantes de ma journée d'hier

«on est pas là pour faire respecter la justice... on est là pour faire respecter l'ordre»
-Dit par un policier, le 13 mars 2008, durant l'occupation-

«Je crois de plus en plus que l'amour n'est que typiquement masculin»
-Dit par un collègue de ma job-

mercredi 12 mars 2008

État des mandats de grève à l'UQAM

Association facultaire étudiante des sciences humaines de l’UQAM (AFESH-UQAM)
Depuis le 11 février
AG de reconduction : 19 mars
Nombre de membres : 5 400

Association étudiante du module de science politique de l’UQAM (AEMSP-UQAM)
Depuis le 21 février
AG reconduction : 19 mars
Nombre de membres : 721

Association facultaire étudiante des arts de l'UQAM (AFEA-UQAM)
Depuis le 17 mars
AG reconduction : semaine prochaine
Nombre de membres: 4 045

Association facultaire étudiante de lettres, langues et communication (AFELL-UQAM)
Depuis le 12 mars
Nombre de membres: 3 720

Total en grève à l'UQAM:13 886 membres


Regroupement des étudiants et étudiantes en sociologie de l'UdeM (REESUM)
Depuis le 26 février

Association étudiante de littérature comparée de l'UdeM (AELCUM)
Depuis le 27 février

Association étudiante de service social de l'UdeM (AÉSSUM)
Depuis le 27 février

Anthropo UdeM (AÉAUM)

cycles sup. en socio UdeM (ACSSUM)

dimanche 9 mars 2008

C'est la grève. L'énergie était belle jeudi.

dimanche 2 mars 2008

Massage sans faille, mains et soupirs;
Corps nu sur corps nu;
et rigueur du désir, sur mouvements répétifs;
intensité. Rien d'autre.

lundi 25 février 2008

esquisse de chapitre (avec haleine de café, frénésie)

Nous étions assomés par la nouvelle. Les quatre pairs de yeux dans l'appartement fixaient l'écran. Les bombes pleuvaient. Durant deux bonnes heures, nous vivions scoops après scoops, surfant sur une dizaines de chaînes d'ici, là-bas, et plus loin. Les déclarations de guerres suivaient de près les annonces d'«atteintes d'objectifs importants». Puis ensuite, les publicités devenues rétrogrades avec leurs sourires, et créations de besoins. La fenêtre était ouverte. Putain, ces sirènes! Elles passaient sans cesse nous notre fênetre, et bordel! il n'y avait que quatre bombes qui avaient explosés! Les gens paniquaient, comme s'ils étaient pris par surprise.

Nous ne comprenions rien de la situation: qui avait fait quoi? quoi avait fait qui? pourquoi se sacrifier? pourquoi ses appels au calme? qu'est-ce qui motivait tant d'humains au carnage? combien de morts y avait-t-il et y aura-t-il? pourquoi nos alliés sont nos ennemis? pourquoi les gens à cravate étaient parti depuis longtemps? ils savaient. pourquoi devoir serrer les dents et se faire enculer par la peur de mourir? N'y avait-il pas assez de robot qui traversaient les ponts ? Notre génération en avait-elle pas assez de mourir chaque fois qu'elle disait non!? Chaque fois qu'elle cherchait son identité en regardant devant plutôt que derrière. Son identité?! Une identité de carte soleil qui ne sert plus à rien! De chant traditionnel aux gloires de vieux barbues, de révoltes écrasés par l'arrière goût de sperme évangilique politicaillé, une identité de vendeur de fer à une cenne la tonne, à défaut de comprendre, on croyait, une identité de rationalisation économique de ressources de coupes à blanc de criss de calice de tabarnak, une identité coupé entre les nostalgiques du fumeux de clopes et les apotres du capital. Fuck you mon identité!

[...]

Je fus le premier à briser le silence.

Je devais partir, avec ou sans eux.
J'ai envie d'aller faire ma maîtrise à Rimouski un jour...
Il m'est difficile d'écrire ces temps-ci, faire acte de langage. Je trouve difficile également, exposer mes désirs sur l'espace public. Mais le désir au fond, n'est que matérialisation mimétique, je veux dire, nos désires ne sont pas uniques. Nous désirons ce que l'autre possède.

Il y a le sujet, en quête de l'objet; le rival en quête du même objet; il n'y a pas de désir sans rivalité: «Je veux avoir ce que tu as, je veux être ce que je ne suis pas». Tout se joue finalement entre le sujet et son rival. bof ok ouais (sibole!). Mais je fais quoi alors moi? Devrais-je me faire suer ? Puer l'hésitation? Sachant, qu'au fond, mes désirs ne sont que convoitisent, donc partagé? nah pas partagé, mais plutôt connu, vécu. Devrais-je me gêner pour les partager sur ce blogue? Je me réponds sans cesse non. Mais pourquoi j'hésite toujours? Le jugement...humm.. arf. Je m'en fiche au fond. Je l'écrirai donc, ce texte...

jeudi 21 février 2008

YA DE L'ESPOIR JVOUS DIS!

Sans joke, le mouvement de grève semble avoir un second souffle, je vous l'avoue, j'ai espoir. Demain je vais à québec manifester. De plus en plus d'asso disent oui à la greve. j'espère que nous serons ''recaller'' à l'afea ou aemel..

ya de l'espoir jvous dit.. de tout façon, rien faire, c'est un peu la définition d'être mort non? .. bon j'exagère.. mais vous voyez..

en attendant voici une pétition:

http://jappuieluqam.org/

annonce générale

Vous savez, mon dernier blog s'appelait ''le parloir des sans-voix'', mais ce blog-ci... se veut participatif (comme la démocratie idéale, bon bon je m'égare..) mais je vous invite donc, particulièrement ce soir, mais également cette invitation se répétera de manière invisible à chaque autres trucs que je vais publier... Donc vous êtes constament invité à dire des trucs pertinents ou non, question de créer une interaction débile, qui enflammera cette espace publique et nous fixera pour l'éternité dans la toile!!!

(vous avez entendu cette musique militaire russe grandiose?)

mais bref je crois avoir débloqué tout les commentaires, donc meme si vous n'êtes pas sur blogger, vous pouvez dire des affaires.. si ça marche pas faites moi le savoir.



Pour vous encourager, je vous invite à me lancer des thématiques de tout genre...Je tenterai de relever le défi... joyeux non?

bon aller.. jvous aime
xx

sym

dimanche 17 février 2008

Dégoulinade verbale.

Une douce transition. Entre l'incompétence, et le mépris (?), suintant l'aboutissement, l'émancipation individuelle; le bonheur se répands goûte à goûte, entre le désir*et la vie**, sur une composante vivante de forme tubulaire, qui se subdivise en deux parties, de semblable grandeurs.
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Je devrais commencer mes travaux de mi-session. Vous avez commencé? Moi je n'ais pas trop l'esprit à cela tu vois..? Je feel pour rencontrer des gens, parler.. ça me manque, c'est con à dire comme ça, mais je ne fais que ''communiquer'' ces temps ci... ou presque. J'ai envie de faire la fête, et/ou d'avoir du plaisir, et/ou de repartir dans l'ouest. Une amie utilise l'expression ''constament exploser''²³, je trouve que cela s'applique bien ici.
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Je trouve le concept d'inventions de définitions vraiment bien, je crois que je vais l'utiliser...
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Et puis maintenant?
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* synonyme de ''impossible'' (quel est l'intérêt d'un désir lorsqu'il est accomplit, ou ''accomplissable''?)
**relatif à l'univers tactile. L'imagination étant considéré comme une ''métaexistence''
²³ Le sens que je donne à cette expression: rechercher des sommets émotionnelle de toute sorte de manières diverses. (qu'est-ce t'en penses?)

mercredi 13 février 2008

J'ai vu notre futur élite économique hier à ma job se défoncer, comme j'ai jamais vu. imaginez... 400 étudiants en droits caller en même temps un pichet chacun.. c'était le circle.

lundi 11 février 2008

''Osé osé'' diront-ils. ''pfff trop pas'' leur répondra-t-il.

Un propos sans faille. Une idée qui peine à s'exprimer. Un scénario continuel qui s'enrichit de nouvelle scène, et se départit de scène superflue.

Un jeune femme, prêt de lui, remarquant un embarras manifeste difficile à dissimuler... S'amusant à maintenir cette embarras, en le touchant, et l'effleurant pour divers prétextes. Il ne pouvait ignorer sa cuisse sur la sienne, et son avantbras qui était inexorablement porté à provoquer d'autres contacts. C'était devenue une obscession. Dominatrice, un peu, ayant un certain avantage circonstenciel. Se jouant de son trouble. Et lui, adore cela, perdre le contrôle, être provoqué. Des avants-bras se frolant.. c'est un peu rugueux, les poils.. puis son bras dépourvu de manches.. délicate douceur, il adorait son odeur.. une chaleure partagé s'installe entre les deux. une main sur sa hanche remonte son chandail pour se frayer un chemin sur un ventre encore froid. Il est figé. Il va finalement pour déposer sa main sur la cuisse appuyer de celle-ci sur la sienne de celui-ci de la sienne et le sien de celle-ci (hihi); (ce contact l'enivre au plus haut point depuis quelques minutes déjà. il ne veut que l'accentuer, c'est une obscession.)elle l'arrête de manière direct, autoritaire, mais sans reproche. Elle prend sa main pour la déposer elle-même à l'intérieur de sa cuisse. Il s'enhardit (quel verbe étrange, la phonétique grafigne il me semble.) .au contact du jean qui est troué par endroits, il remarque le curieux effet tactile de l'addition jean/peau sur une même surface. C'était doux et tiède, mais à la fois râpeux et usé. Il sentait qu'il l'a touchait encore plus que si elle avait été nue. C'est à ce moment qu'il comprit qu'il aimerait être son esclave. Elle aurait pu lui demander n'importe quoi à cet instant...

à suivre..?
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bon bon bon, j'ai essayé de part ce texte à saveur érotique, de tâter la thématique du touché, car j'ai pris conscience récemment, que c'était un sens qui n'avait pas été beaucoup exploité (il me semble). En fait, je vous l'avoue (ça reste entre nous hen?) ça m'obscède un brin. Je veux dire les gens qui touchent pour n'importe quelle raison leur interlocuteur de manière tout à fait naturelle(que se soit une tape sur l'épaule, ou encore saisir la main de lautre par réconfort, ou peu importe..) Cela me fascine... Je suis incapable d'ignorer ce genre de geste (même lorsque c'est moi, c'est que je touche les gens moi aussi, mais cela ne vient pas naturellement on dirait.)

enfin bref, jtanné de réfléchir pour aujourd'hui, on s'en reparle.

bye bye

Questions

Je me pose plusieurs questions ces temps ci: à savoir, premièrement, quel ratio fictionisme/réalisme genre.. qu'il est idéal de donner. En fait, j'imagine, il n'y a pas vraiment d'idéal...

mais bon par exemple, avoir comme décors de fond une guerre (qui serait de second, même troisième plan..), ou l'éminence d'une catastrophe intense.. car l'idée serait de donner un feeling d'urgence, il ne faut pas qu'il y ait une raison d'attendre. Les personnages doivent quitter. je pourrais, bien sûr, faire en sorte qu'ils partent sans raison extérieurs... Mais venant de l'intérieurs, je vais avoir trop tendance à l'écrire à la jackos (il serait trop difficile de pas inventer un Dean, qui se foutrait de tout).

Et, je ne veux pas non plus tomber dans le patern du récit d'anticipation tu vois?

Alors, voilà un peu où j'en suis...

Qu'est-ce t'en penses?

lundi 4 février 2008

tsé traverser l'amérique... c'est plus qu'une action, c'est un idéal à constament accomplir. je sais pas. je trouve qu'une voiture est un excellent hublot (ouf, jai fais une faute de frappe et j'allais écrire hublon!! ) sur le monde. j'y vois beaucoup de symbolique. et s'endormir sur la banquette arrière en traversant les plaines, et ouvrir les fenêtres en arrivant au bord de la mer et sentir l'odeur salin de la fin du monde! et s'arrêter au milieu du désert en voyant 5 km au moins de routes devant soi et derrière, et les arbres géants de californie, et les montagnes britisch colombiennes, et, et, et... bon encore. jarrete.

comme vous avez pu voir, je n'aime pas trop la théorie et la logique, et la rationnalité... mais j'ai décidé de plusse m'y intéresser.. ça pourrait m'être utile peut-être? enfin j'agrandirais mon champ :P haha

je jasais avec un pot, et il m'a fait comprendre cela: je suis plus un ''dude'' d'émotion, d'émotivité, d'images, comparé à vous deux.. vous êtes plus techniciens, chirurgiens littéraire, horlogé du langage (vous voyez? moi et les images..)... mais en même temps, j'ai mes forces également. honnetement, nous trois, lorsqu'on sera prêt, on fera surment une bonne équipe un jour. à vous de décider.
mais tsé javoue que la littérature, les arts et toute la patente, c'est un sport individuel pas mal également. mais bon mais bon . on verra bien

jvous aime
a+
http://blogues.cyberpresse.ca/lagace/?p=70720868

today is the day

voulez vous voir quelque chose de chouette? non? bon. daccord, je vous le montre quand même!!

http://istheday.blogspot.com/2007/09/today-is-day.html

dimanche 3 février 2008

Ça y est, il faut que je commence; il faut toujours finir par commencer au fond, non? Alors voilà, le tout se clarifit de plus en plus je crois. J'aimerais bâtir mon histoire à la manière de cette chanson du Loup (Le dôme). Elle me donne toujours des frissons après toute ces années d'écoutes. Elle a cette rythmique que je cherche, il me semble, cette ''tonalité''. Et puis, bon la thématique n'y est pas complètement étrangère non plus..
Il s'agira de L'odyssé de quatre personnes incarnant leur époque, avec comme point de départ, la mort de celle-ci.
J'aimerais parler de mon époque comme Miller l'a fait; avoir la rythmique, la gravité et la légerté de kundera; l'intensité de Camus; et la plume de Barrico.
Non mais avouez que cela serait complètement fou et génial! les gens se tueraient de joie et de désespoir dans un même geste!
Les éléments sont pas tous en place encore pourtant... je bloque ici et là. Comme par exemple, je me demande toujours la place que je veux accorder à l'action. Je suis réticent à l'idée à baser mes idées sur les actions. Cependant, un truc à mon avis très pertinent que Jacques poulin à dit un moment donné à propos de notre littérature au québec: nous sommes le produit du métissage de la littérature américaine (actions) et française (idées), et pour lui, l'idéal serait une harmonie des deux approches pour notre littérature québécoise.
Enfin bref. Je ne sais pas trop quoi en penser.
Le problème reste donc complet.
J'aimerais cependant utiliser une narration de deux ou trois voix, avec des tons très contrastés.

tsé genre un texte un peu trash là, mais intelligent.
quelque chose qui aurait la porté sociale d'un kerouac.

enfin je cesse de rever et je m'y mets :P

jvous aime
a+

lundi 28 janvier 2008

bon je vais mieux. jtun peu plus stable.
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jattaque le joueur, de Dostoievski
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jai beaucoup d'impression de déjà vu, ces temps ci. comme si toute était normal.
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un autre cycle commence, je crois du moins.
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jfeel full paranormal/ésotérique

samedi 26 janvier 2008

ben oui!

ouin sérieux la, je crois que je vais tout arrêter. vois-tu j'ai peur. je me réveille jcapote, jme couche jcapote.. ça me fait trop mal. pis jai connu ça avec l'autre, tu comprends? jvois toute les étapes me revenir dans face comme un film poche, qui reproduit deux fois la même scène pour montrer something d'angoissant où chez pas, bah j'invente encore. vois-tu j'invente tout le temps. ma vie s'invente au rythme des sourires (avec lesquels je me construis des vies. heille mezant la. laisse moi t'observer 5 minutes pis jtinvente ta vie la!) pis en tk, je le pense que j'ai de la force pis de la créativité! siboire ! jpense juste que je fais peur car je suis trop intense! c'est vrai. c'Est juste que je bloque mon émotivité jusqu'à ce qu'elle sorte toute en gros paquet ou tout croche ou ( insérer un choix de réponse ici) .. pis jcomprends la.. mais fuck jai tant à donner jpense. tk pour vrai la je suis sous-estimé... mais c'est un peu de ma faute, je projettais pas une image adéquate. jassume

(non jpas saoul!)

avant j'avais des remords aujourdhui jassume. c'est vrai que c'est pas tout le monde qui rentre facilement dans mon cercle, qui partage mes patentes et moment de frénésies. c'Est pas à tout le monde à qui je débale mes trips. j'ai construit ma vie sur la sincérité d'abord. maisje suis totalement sincère envers ceux que je respect/admire/aime .. les autres, ben c'est des figurants dans mon théatre, c'est tout! c'Est pas méchant! j'ai juste pas à leur faire endurer/profiter de ces trucs là... mais en même temps je garde le concept d'échange.. pour vrai là jchui pas un gros égoiste. jpartage des trucs vraiment fou, avec des gens qui ne sont pas dans mon ''cercle'' (jai dlair d'un gourou d,une secte ou je sais pas trop loll)... mais bon jarrête de m'expliquer, j'ai pas à le faire au fond. .


jrevois le même film qu'avec M-C tu vois, c'est pas normal, j'angoisse souvent à cause de cela... je veux pas!! criss stu moi? (ben non jpas fâché :P ) mais sincèrement, tu sais ce que j'aime de toi? c'est que j'ai l'impression de parler le même langage. je suis sur que tu comprends ce que je vx dire en ce moment . pis des gens avec qui je parle le meme langage, jles compte sur les doigts d'une main genre ..

je me suis toujours bien entendu avec les marginaux, des gens un peu seul (avec leurs idées surtout), qui ont cette espèce de vie ... jles appel cette ''race de monde'' che pas, ya plusieurs race de monde (ceux de bars, les pickers, les nomades, les artistes, les bureaucravates, les comédiens, etc à l'infini) mais ya cette race de monde, dont (je crois) tu fais parti, c'Est ceux qui ont la perceptions des choses, cette sensibilité, qui te donne le pouvoir de .. (je trouve pas le mot) le pouvoir de.. dire dequoi, les changers au points qu'ils vont en brayer .

fake c'était cela que j'avais à dire ce soir, chere amis, juge, et témoin de mon épopée.
vous pourrez pas dire que stait cheesy, et artificiel ce matin ! ;)
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pis che pas, je cherche depuis un bout, une technique narrative pour faire un solide monologue qui serait un bon compromis entre la sincérité (+émotivité), et la clarté (et faire passer un solide message comme du monde)

quesce vous en pensez? (ok, on se gêne pas pour les commentaires, je suis pas méchant. je suis gentil lol )

bon je vais me coucher, le soleil se lève sibole..
jvous aime en criss

-sym-

vendredi 25 janvier 2008

il fait froid pour dormir seul dans un lit double je trouve

jeudi 24 janvier 2008

lettre à mon coloc

salut charles,

je sais que tu habites à moins de 20 pieds de ma chambre, mais je t'écris quand même un e-mail ce soir. Il y a bientôt 15 ans que l'on se connaît, de la cours de cette école qui nous a vu devenir des brutes du ballon chasseur, jusqu'au seuil de nos vingts ans, aujourd'hui calvaire (cheveux blancs? pas encore)..
Tu te souviens de cette lettre que l'on s'est écrite dans notre cours d'économie à la polyvalente? ben je sais pas pour toi, mais pour moi c'était bourré de signification. Je ne sais pas actuellement où «ce contrat d'existence» se trouve, mais il va nous rebondir en plein visage un jour, ou sinon il y aura ce mot dans la bouteille que j'ai enterré à mes vingt ans. Je sais pas trop quoi en dire en ce moment, car cette lettre que je t'écris est un brin improvisé, elle se veut à mi-chemin entre la littérature, la confidence, et l'introspection. Je vais la publier sur mon blog, pour une raison que je n'ais pas, elle non plus, encore trouvé. à l'exception peut-être du fait que je ressens le besoin «d'avoir des témoins» à cette échange.
Je parlais de cette lettre tout à l'heure, puis j'en viens à la conclusion que nous avons fait cela pour de communes raisons. Je veux dire, au delà de prendre une photo très partielle de notre «état d'être», nous avons en commun cet ardent désir de rester fidèle à nous-même; je crois que cela est une valeur que l'on partage (et avoir des valeurs en ce début de siècle est une richesse tant qu'à moi). Nous avons fait cela, j'imagine dans le but de nous confronter plus tard, et dans les moments de souvenirs, à ces exigences que nous nous étions fixé. Mais nous changeons, bien sûr.
Tu sais, j'ai la certitude que l'on peut accomplir de grandes choses toi et moi, SI on réussit, chacun à vaincre nos «mauvais patern». Nous ne sommes pas des génies, je crois. Cependant, je crois qu'il en est mieux ainsi; tu sais les génies n'excellent que dans leurs domaine, et pour poser un regarde un tant soi peu objectif, et avoir des visées réformistes, voir même révolutionnaires, il faut une vue d'ensemble. J'ai cessé récemment de rêver d'être comme eux. Je ne dis pas cela avec condescendance, ni mépris. J'ai longtemps rêvé d'être de cette race de gens qui vivaient de certitudes, et de bières. Tu le sais comme moi, nous travaillons dans le même milieu. Il y a une éternité que je me suis pas «oublié» sur une piste de danse, ou dans une défonce totale. Je ne peux que freiner mes angoisses, réticences, et émotions; je ne peux désormais plus les oublier. Notre civilisation charles est malade, le sens tu? Regardes ces visages dans les métros à l'heure de pointe, regardes notre génération qui a abandonnée ce quelque chose dont je ne sais nommé (je n'irais pas jusqu'à parler d'idéaux, peut-être plus un terme se rapprochant du verbe rêver, on ne rêve plus à présent, nous sommes raisonnable), regardes cet échec des arts de réformer la société (nous pourrons en discuter si tu veux), regardes ces garçons qui n'aspirent à rien si ce n'est que la jouissance (au sens large du terme), regardes ces filles qui n'aspirent à rien si ce n'est que la jouissance (au sens large du terme).
Pis les filles charles! Notre éternelle sujet de discussion! (''est de dos simon! jvois pas!!'') (''les filles c'est l'enfer'') lol. Même si nous avons pas le même parcours, j'ai tout de même la certitude que nous avons quelques affaires en commun. «Tryin to find a woman whos never, never, never been born.» led zep ... ah pis je ne sais plus, j'ai l'impression de me perdre dans ce que je voulais dire:

Nous aurions la perfection, on s'en contenterait pas parfois j'ai l'impression.

ah pis l'amour? pour ma part elle n'a été que destruction et auto-destruction jusqu'à maintenant, mais la plus belle source de rêves, d'anticipation, et d'espoir genre. j,y suis mort à mainte reprises, j'ai essuyé humilliation et défaite, mais également j'ai su me prouver certaine choses également en lien avec mes convictions et valeurs dans les actions que j'ai porté.

mais fuck
on s'est tellement magané souvent à cause de ça! (?) j'ose mettre un point d'intérogation car la question suivante me vient à l'esprit au moment où j'écris ses lignes: était-ce vraiment pour cela?

moi les gens m'énervent de plus en plus. plus j'avance, et rencontre des gens, moins je me sens de la gang genre... meme chose pour les filles.. elles deviennent si rares à exister devant mes yeux (dans l'optique que ceque/qui ne connaissont pas n'existent pas)... pis ceux (surtout celle) avec qui j'ai l'impression de parlerle même langage..ben c'est irréaliste.. tu connais mon histoire.. mais tout cela à peut-être été pour le mieux.. je me le demande. quel est mon problème ? tsé j'essais vraiment de pas trop m'autodétruire en reproche ces temps ci, alors je soulève la seconde question: quel est leur problème? lol elles finiront par succomber j'en suis sur.

mais fuck je le sens que chui capable!! d'atteindre mes rêves! ctu prétencieux le dire?! je le sais que je vais les épater un jour...

enfin. voilà.
ce fut mon ti e-mail

il y avait pas vraiment d'objectif d'exprimer quelque chose en particulier, juste brasser la marmitte dans le fond, jte suggère l'exercice, et de lire du henry miller à t'en pêter la tête sur les murs.

-Sym-

mercredi 23 janvier 2008

fuck! j'ai tué une idée! je lisais du Miller dans le métro, j'étais arrivé à jean-talon, je suis sorti du wagon, pis jai eu la certitude davoir une criss de bonne idée la! jvous jure! jte jure!

j'ai décidé que j'allais la mettre sur le blog et blabla, puis le con que je suis, j'ai continué à lire mon bouquin! l'idée s'est dilué dans d'autres puis, elle est morte. pis en veux-tu une bonne? quelques pages plus loin dans mon livre, la phrase suivante s'est foutu de ma gueule (ou elle a compatit, c'est selon) :«Pour moi la souffrance la plus épouvantable, c'était de voir le mot périr avant même qu'il eût quitté mes lèvres.» Venez me parler de hasard maintenant! pff c'est pas compliqué la! je suis la réincarnation de Miller! haha non jdéconne, mais siboire la!

----(changement de sujet)

hey comme vous savez peut-être, les mayas ont prédit une quasi fin du monde pour 21 décembre 2012. http://fr.youtube.com/watch?v=QaniSfTuWAk

où serez-vous ce jour là?
où seras-tu?

tk moi je mets pas une cenne dans mes réers :P

--------(encore)



heille sérieux jai vraiment peur par boute, mais en meme temps bon, c'est comme ça c'est tout.
xx

vendredi 18 janvier 2008

OUBLIEZ MOI À PARTIR DE DEMAIN.

et

jfeel pour tomber en amour.

jfeel pour mourir genre. osti que jaimerais mourir. nah. mais batard ... j'ai l'impression de chercher quelqu'un ou quelque chose qui existe pas, jtanné de respirer en vain .

mardi 15 janvier 2008

la magie

Lis ça:

«Il était plus mort que vif, étant mort et vide, au delà de tout espoir de résurrection en ce sens que son voyage l'avait entraîné par-delà les limites de la lumière et de l'espace et qu'il s'était blotti, en toute sécurité, dans le creux noir du néant. Il méritait plus l'envie que la pitié: son sommeil n'était pas une accalmie, un intervalle, mais le sommeil même, somme de toutes profondeurs, et de là le sommeil en soi-même toujours se sommant, et toujours plus profond au tréfonds s'enfonçant, au sommet du sommeil tel au fond du tréfond du profond assommé s'enfonçant, au sommeil des grands fonds tous sommeils consommés, au profond des sommeils sommeillant du plus doux des sommeils du sommeil. Dormail. Dort. Dormira. Dor. Dorm. Dormez mon père, je vous en supplie, car nous qui sommes éveillés, bouillons aux chaudières de l'horreur...»

fuck ça c'est de la magie ! Le génie littéraire peut, tant qu'à moi, se résumer à ce type de tour de force. Écoutes! Maîtriser la forme pour en jongler des monologues aussi fluides et avec une rythmique aussi pertinente (simulation? hum, je trouve pas le mot, mais disons simulation) avec une simulation du sommeil comme lorsqu'on est entre les songes et la réalité. MAIS EN PLUS, le propos est très intelligent, et amène une réflexion très yeux-dans-les-yeux de cet homme qui n'a plus la flamme de l'existence.

fuck! c'est à cela que j'aspire. je veux avoir de la magie..



je parlais bien sûr d'une citation à la page 198-199 de tropique du capricorne, de Henry Miller.

vendredi 11 janvier 2008

mercredi 9 janvier 2008

trash texte

Je ne suis pas capable d'écrire sur du papier. Alors je blogue criss

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between the lines
étincelle, j'en veux une. alors gorgé. de vin, merde.

je sens le désastre.

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par terre, il y a ma voix. j'entends mon époque qui résonne.
je perçois à peine les tremblements de tes mains.

par terrre joie,
odeur agréable. j'aime
j,assume tout. le chaos de mon cerveau... les embouteillages les constipations d'idées. ça bloques merdes, un peu plus à chaque gorgés, quand ça sortira?
l'idée sortira
ballet (danse, sourire et personne mortellement belle) de certitudes. images de décadences. souvenirs de révoltes. abandon du futur.
douce main sur ta hanche nue.
m'accrocher à une image, me broyer dans celle ci. imaginer, anticiper, fantasmer jusqu'à l'abandon, jusqu,à lusure spontanée et l'arrêt. jusqu'à la mort du présent je suis sur que je vais être bon. fuck jai plus à donner que des bons mots, et dla littérature. c'est clair que je vais être bon amant. et quand j'y crois, jsuis trop intense. ça ne peut mal aller. je m'interpose dans l'espoir d'une réalité. je m'Arrache à l'affiliation d'une attention. je cotois la grossesse d'un chef d'oeuvre. fuck. je le sens que je porte le bien. putain que c'est prétencieux, et exercice de style. mezant que jaimerais t'embrasser. mais j'y crois aussi que je vais rocker la place plus tard. . je trouve ça con y croire tant à la limite, mais bon.. j'ai l'impression que j'ai quelques trucs seulement à règler pis jaurai les armes d'être un héro. tsé ceux avec les bons mots. MA quête la... ouais, ben j'la fait en pensant à ça. c con, et limite, trop spontané.
vois-tu jsuis ambitieux que yable. ça me ronge. c'est mon mal, ça sera ma déception, et ma consolation.
on jouait à un jeu moi et charles hier , on prenait un paquet de carte en donnant une intention aux quatre symboles. exemple: coeur était réussite, pique oui mais avec mauvaise intention, carreau = ctait le destin, pis trèfle non. il y a eu plusieurs révélation. J'ai eu plusieurs bonnes et mauvaise nouvelles. il y en a eut une qui s'est réalisé. j'ai eu peur. jai peur plus souvent que tu penses tu sais? Je suis un guerrier qui a peur. (jaime cette phrase, non finalement...)
tsé les criss de blogues là, ctu pour ce donner l'impression qu'on n'écrit pas que pour soi?
fuck Miller me tue: javais parlé de mon top 4? je ne suis pas encore capable de classer, mais il y a miller, kundera, camus, et baricco
je suis sur que je serais bon amant, suffit que j'arrete de penser et que je déarme mes peurs de rejets pis watch out.
jaime trop mon idée de personnage, ce fuck de johnny starh. il me colle. quand je fantasme je suis lui. c'est cave. trashy héro. trop kitsch, je vais l'écrire son histoire, mais merde que chui quétaine. heille l'orgienalité. wow les jeux de mots de défoncé. HEILLE c'est ça j'apprends, mais j'aurai bientôt 21, et dans une éternité 27. ahhh et pourquoi? ayoye que j'aime ça <
bon je suis satisfait qu'est-ce t'en penses? je ne crois pas t'avoir déjà exposé mon côté un brin plus trash ..
j'espère que Mistral aimera...
jean claude richard rock
bon jvous laisse, bonne journée, jvous aime
xx
sym

samedi 5 janvier 2008

Je relisais aujourd'hui mon vieux blog http://simonpelletier144.spaces.live.com/ que javais commencé à 15-16 ans, il me semble, puis jai trouvé un commentaire d'une lectrice, sur un texte qui faisait le bilan de mon année 2006, qui m'a troublé un peu:

liberté.........
écoute,jai commencé a te lire ,et oufff,sa ma calmer,moi jai 32 ans la medications je lait acceptée a 30 ans ,je suis incapable de travaillé ,a cause de mon atttitude anormale ,face aux autres (normal ...fuck nous ont est des 110% dans la tete (la maladies des grands hommes vas voir.jai 1 probleme de coke jai arreter 1 mois et oups,vive les meetingA.A car C.A sé trop électrique .kiss kathxxxxxxxxrécrit moi si tu veux ont se comprenxxxxxxxxxxxx


pourquoi l'ais-je calmé? Pis pourtant c'était un texte relativement soft et cheesy que je n'aime pas trop relire aujourd'hui...

troublé
Un peu plus misanthrope aujourd'hui. Je suis déçu. tsé je pensais à tout plein de trucs du genre: pourquoi j'attire ça ? j'essayais de comprendre ma lacune, dans une autre de mes rages silencieuse, tsé chez pas, toute revirer à l'envers changerait quoi ? yaura toujours des criss d'étudiants en droit qui viendront se saouler dans un marathon de bière au pub (?) tsé du genre cave... oh que jai eu du plaisir cette nuit à me faire du fric pendant qu'eux flaubait le fric de leur parents. je leurs souriais, je parlais même en anglais en me risquant quelques blagues, je m'améliore, je suis fière de moi. J'aurais aimé être plus saoul par contre, avoir su, jlaurais fumer à moi tout seul ton joint mon josh! Enfin, c,est pas très grave, saoul, geler, ou sobre, je suis gentil. tsé dans lgenre à sourire après une mauvaise nouvelle? à prendre ça avec philosophie pis toute la? ostie que jtun bon gars!..

mais merde à qui jpeux m'appuyer? depuis une semaine, je perds, me semble tout plein de point de repère ces temps ci, un a un ...

tsé sa dérape.

la confiance. ..
la distance. ... rien est de mon bord.... ..

Il me reste mes vieux chums.. osti que jles aime. tsé genre ils me trahissent pas pis toute.. je suis pas une boué émotive avec eux, même si on se braille presque din bras souvent.. tsé on s'aime genre jpense.

anyways jm'en calice stait pas dût (ostie que chui philosophe) pis jai hate de recommencer les cours, un beat plus normal je l'espère. tenter de recommencer quekchose en solo genre ma vie. il faut que japprenne à dealer la patente en solo sérieux la.


jai souvent trop confiance me semble. Tsé joublie que certain peuvent me faire dla peine car eux se vengent de leur peine antérieur ou che pas trop. mais moé pourquoi je le fais pas? osti que j'aimerais ça me payer la liberté d'être un osti de sans coeur, dans le sens penser à moi seulement, faire du fric, fourrer, me dire qu'ils vont faire les séries stannée, marcher dans la rue pis reluquer les jambes des filles agrémenté de commentaires de mise, croire en la stabilité, tsé jaimerais ça être de cte race la: $$, me foutre des autres, fourrer, étudier en droit, ou dans un domaine sérieux à s'en trancher les veines, dans le sens JOUIR là. un peu comme ma citation de Miller.

chui vraiment content d'avoir découvert Henry miller; dans mon top 3, il tombe à un moment de ma vie qui n'est pas si innoncent il me semble. Comme une réponse, à ce qui m'arrive, et comme je dois dealer ça... c'est rien de grave.. je vais essayer d'autre point de repère.




bon par où je commence?

vendredi 4 janvier 2008

Citations

«Quiconque, par excès d'amour, qui est une chose monstrueuse après tout, meurt de son malheur, naît à nouveau pour ne plus connaître ni amour ni haine, mais pour jouir.»

MILLER, Henry, Tropique du capricorne, p. ??

«Dès que vous vous payez le luxe de penser ''différement'', vous cessez d'appartenir à l'amérique. Et du jour où vous devenez différent, vous vous trouvez transporté en Alaska, dans l'île de Pâques ou en Islande.»

MILLER, Henry, Tropique du capricorne, p. ??
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bon voilà des citations un peu chaotique.. mais c'était un prétexte pour souligner à quel point cet auteur me ''parle''. Il porte un regard très matérialiste et spirituel de l'Amérique, et ce côté trash... J'aime.

jeudi 3 janvier 2008


dans les rocheuses et aux pieds de l'océan


zion park utah, au sommet de angel landing, ceci est le pied à j-s
Il y avait elle, qui était assise là. Elle fumait, en pensant; à un homme probablement.

Elle était assise là.

Un tremblement constant animait la main de l'homme derrière le bar. Il était mon ami.

Je voyageais beaucoup.

Elle s'assoyait souvent aux côtés du pianiste, et chantait l'humeur du temps: souvent triste et violent.

On disait que l'homme derrière le bar n'avait jamais quitté l'établissement.

De longues jartelles noires ne nous volaient pas notre fixation pour son regard.

Nous étions seuls souvent.

Elle balançait sa jambe au rythme des accords.
Le pianiste la fixait pour ''garder le rythme''.

Cette chanson me rappelait San Francisco, la mer, mais surtout le chemin jusqu'à elle. Nous avions qu'une valise, elle n'en avait pas. Je croyais que la musique était le plus bel endroit. Elle chantait.

Je ne m'arrêtais guère plus qu'une semaine.

Mais cette fois-ci, nous l'avions tué. Sans aucune aide de personne. Il était gras et banquier, et buvait du cognac, chaque fois un double.


Il me dévisageait. Je chantais. Il semblait ailleurs. J'aurais aimé voyager. Il venait du Canada.
Il semblait usé.
Le pianiste oublie ses accords à me regarder les jambes.


Il y avait un mexicain qui dormait, bien sûr.

---FIN DE LA PHOTO---
**guitare hispanique, fast picking**

Le barman était vidé. Sa vie était une bouteille qu'il vidait. Mais il avait toujours un révolver chargé.

Elle avait un couteau.

Je ne connaissais personne.

Le mexicains marcha jusqu'au pianiste, déposa le canon sur le dos de celui-ci, puis lui fit éclater le coeur qui s'éparpilla dans les dernières notes.

Elle en reçu au visage.
Il lui donna tout son coeur

J'aurais aimer commander à boire mais le barman semblait occupé.
Je m'ennuyais de cette fille.
J'espérais la retrouver à SF ou tijuana.

Elle planta son couteau dans le coup du mexicain, qui portait avec classe la moustache.
Le sang salit la bouteille de cognac.
Elle ne servirait plus dans deux minutes. Nous avions presque tué le banquier, il pouvait me voir. Jétais le dernier qu'il verrait.

Le barman s'était suicidé, faisant éclater une bouteille
avec son crâne dégarnit.
Ils se vidèrent.

J'étais parti, elle resta là de longues minutes avant de quitter.
Elle dut se déhabiller et se laver.

Ses jartelles étaient foutuent.
elle irait jusqu'à l'océan.