lundi 11 février 2008

''Osé osé'' diront-ils. ''pfff trop pas'' leur répondra-t-il.

Un propos sans faille. Une idée qui peine à s'exprimer. Un scénario continuel qui s'enrichit de nouvelle scène, et se départit de scène superflue.

Un jeune femme, prêt de lui, remarquant un embarras manifeste difficile à dissimuler... S'amusant à maintenir cette embarras, en le touchant, et l'effleurant pour divers prétextes. Il ne pouvait ignorer sa cuisse sur la sienne, et son avantbras qui était inexorablement porté à provoquer d'autres contacts. C'était devenue une obscession. Dominatrice, un peu, ayant un certain avantage circonstenciel. Se jouant de son trouble. Et lui, adore cela, perdre le contrôle, être provoqué. Des avants-bras se frolant.. c'est un peu rugueux, les poils.. puis son bras dépourvu de manches.. délicate douceur, il adorait son odeur.. une chaleure partagé s'installe entre les deux. une main sur sa hanche remonte son chandail pour se frayer un chemin sur un ventre encore froid. Il est figé. Il va finalement pour déposer sa main sur la cuisse appuyer de celle-ci sur la sienne de celui-ci de la sienne et le sien de celle-ci (hihi); (ce contact l'enivre au plus haut point depuis quelques minutes déjà. il ne veut que l'accentuer, c'est une obscession.)elle l'arrête de manière direct, autoritaire, mais sans reproche. Elle prend sa main pour la déposer elle-même à l'intérieur de sa cuisse. Il s'enhardit (quel verbe étrange, la phonétique grafigne il me semble.) .au contact du jean qui est troué par endroits, il remarque le curieux effet tactile de l'addition jean/peau sur une même surface. C'était doux et tiède, mais à la fois râpeux et usé. Il sentait qu'il l'a touchait encore plus que si elle avait été nue. C'est à ce moment qu'il comprit qu'il aimerait être son esclave. Elle aurait pu lui demander n'importe quoi à cet instant...

à suivre..?
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bon bon bon, j'ai essayé de part ce texte à saveur érotique, de tâter la thématique du touché, car j'ai pris conscience récemment, que c'était un sens qui n'avait pas été beaucoup exploité (il me semble). En fait, je vous l'avoue (ça reste entre nous hen?) ça m'obscède un brin. Je veux dire les gens qui touchent pour n'importe quelle raison leur interlocuteur de manière tout à fait naturelle(que se soit une tape sur l'épaule, ou encore saisir la main de lautre par réconfort, ou peu importe..) Cela me fascine... Je suis incapable d'ignorer ce genre de geste (même lorsque c'est moi, c'est que je touche les gens moi aussi, mais cela ne vient pas naturellement on dirait.)

enfin bref, jtanné de réfléchir pour aujourd'hui, on s'en reparle.

bye bye

2 commentaires:

amélie... a dit...

j'ai l'impression que tu obsèdes bien plus sur la cuisse que le toucher. non, peut-être pas la cuisse, mais l'ambiguïté de la cuisse, à savoir humm... est-ce que j'ose?

Lumilla Farès a dit...

ouais peut-être bien..

mais ça reste que comme je dis dans la deuxième partie, c'est quelque chose qui m'intrigue, et interpelle tout de même beaucoup tout ce qui est tactile..

mais ouais effectivement.. le ''est-ce que j'ose?'' est quand même super flippant, grisant...