Des lettres sur un clavier, hier une nuit de travail, demain une journée de travail. Marcher la nuit, les junkies, les vieillos; se compromettre, sentir la bière; puis penser à cette fille, chercher une réponse dans ce paysage. Ô ste-catherine/berri, comme on se connait bien Ton arrêt de bus, ton arrêt de buz. Je suis chez toi, complètement sobre, je suis chez toi en imposteur. je regarde les yeux vitreux de ces gars et je les trouve con. mais hier c'était moi. et avant hier eux. Travailler dans le nightlife montréalais me sauve, mais demain?
Il faudra plus.
et puis encore penser à cette fille. et aux autres et à celle-ci, puis se rappeler d'un prénom, et d'une image, et d'une émotion. Sentir la vie, dans la souffrance et dans ces joies. la preuve d'exister. Il est vrai que je ne me sens heureux que lorsque je suis frénétique ou zen, ou les deux. Me sentir exploser, dans la vie ou dans la mort.
Pourquoi sommes-nous si loin?
Je n'ais tellement pas de mémoire.
Mais je me rappel encore de mes voyages, ô compagnon d'éternité. putain que je les sens dans mes trips ses voyages. mes yeux à la fenêtre de la voiture. le pays dans ses reflets.
Vous êtes belles, simplement.
écrire est pour moi un compte à rebours
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Où ? mais dans le sud voyons!! car il y a le rêve. et dans l'ouest car il y a l'espoir. Le nord!? un jour, certainement, question de se rappeler c'Est quoi la nature.
et puis pourquoi pas?
dimanche 2 décembre 2007
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1 commentaire:
Je trouve ça cool ce que t'écris, Pierre.
Bastien
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