Il m'est difficile d'écrire ces temps-ci, faire acte de langage. Je trouve difficile également, exposer mes désirs sur l'espace public. Mais le désir au fond, n'est que matérialisation mimétique, je veux dire, nos désires ne sont pas uniques. Nous désirons ce que l'autre possède.
Il y a le sujet, en quête de l'objet; le rival en quête du même objet; il n'y a pas de désir sans rivalité: «Je veux avoir ce que tu as, je veux être ce que je ne suis pas». Tout se joue finalement entre le sujet et son rival. bof ok ouais (sibole!). Mais je fais quoi alors moi? Devrais-je me faire suer ? Puer l'hésitation? Sachant, qu'au fond, mes désirs ne sont que convoitisent, donc partagé? nah pas partagé, mais plutôt connu, vécu. Devrais-je me gêner pour les partager sur ce blogue? Je me réponds sans cesse non. Mais pourquoi j'hésite toujours? Le jugement...humm.. arf. Je m'en fiche au fond. Je l'écrirai donc, ce texte...
lundi 25 février 2008
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1 commentaire:
Mais, il ne s'agira pas de la suite de l'autre texte.
Mais.. c'est comme si tout les scénarios s'équivalaient, donc qu'aucun vaut la peine d'être publié ici. C'est pas la quantité qui manque, mais ... est-ce cela qui est si important au fond?
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