Je me pose plusieurs questions ces temps ci: à savoir, premièrement, quel ratio fictionisme/réalisme genre.. qu'il est idéal de donner. En fait, j'imagine, il n'y a pas vraiment d'idéal...
mais bon par exemple, avoir comme décors de fond une guerre (qui serait de second, même troisième plan..), ou l'éminence d'une catastrophe intense.. car l'idée serait de donner un feeling d'urgence, il ne faut pas qu'il y ait une raison d'attendre. Les personnages doivent quitter. je pourrais, bien sûr, faire en sorte qu'ils partent sans raison extérieurs... Mais venant de l'intérieurs, je vais avoir trop tendance à l'écrire à la jackos (il serait trop difficile de pas inventer un Dean, qui se foutrait de tout).
Et, je ne veux pas non plus tomber dans le patern du récit d'anticipation tu vois?
Alors, voilà un peu où j'en suis...
Qu'est-ce t'en penses?
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3 commentaires:
j'aime beaucoup l'idée d'un départ d'urgence... ça apporte une dynamique vraiment intéressante, surtout si tu ne veux pas tomber dans un road trip hippie. ça peut le devenir, mais c'est bien qu'au début du récit justement les perso. ne cherchent pas à émanciper une liberté (quoique un peu s'ils sont dans un contexte de guerre...)
enfin, j'aime l'idée d'une fuite obligatoire, qui ne se conditionne pas en fonction d'idéaux beatniks désuets!
... ouais... puis l'idée initiale de fuite qui les auront animés.. ah oui! c'est cela!.. changera progressivement à leur yeux...
une fuite en avant?
bon jme couche.. chui crevé
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